Préservation du patrimoine génétique.
Le sibérien est connu pour être robuste et sain. Seuls les meilleurs éléments ont pu affronter les rudes conditions climatiques de la Sibérie. De plus, c'est une race relativement jeune. La consanguinité et les croisements avec d'autres races sont heureusement limités et de mon point de vue inacceptables. La prévention est le seul moyen pour préserver le patrimoine génétique exempt de maladies génétiques.
Selon les races, il existe des prédispositions à être porteur ou à exprimer des maladies génétiques. Dysplasie des hanches (HD), l’atrophie musculaire spinale (SMA), l’atrophie progressive de la rétine (APR), strabisme, … Cette liste n’est pas exhaustive et peut engendrer des conséquences plus ou moins graves sur la santé de nos chats. Le site internet de PawPeds donne des informations intéressantes. http://pawpeds.com/healthprogrammes/index_fr.html
J’ai décidé de faire mon mieux pour préserver mes chatons de l’hypertrophie musculaire du cœur (HCM) et de la polykystose rénale (PKD). Ces maladies sont dites silencieuses car elles ont un développement lent. Elles touchent le coeur et les reins, les organes essentiels pour le bon fonctionnement du corps.
La HCM (Hypertrophic cardiomyopathy) touche le cœur. Le muscle cardiaque s’épaissit. La capacité du ventricule gauche pour se contracter est réduite et l’efficacité de pomper le sang est diminuée. Le corps est moins bien alimenté et oxygéné. Le coeur bat plus vite de façon inefficace pour compenser. Suivant les formes de la maladie, la HCM se développe souvent sans symptomes visible jusqu’à ce qu’un arrêt cardiaque mortel survienne. Les principaux symptômes de la HCM sont une dyspnée (le souffle court), des douleurs thoraciques (angine de poitrine), des palpitations cardiaques, la fatigue, un malaise pouvant aller jusqu’au malaise vagal (syncope) et dans le pire des cas à un arrêt cardiaque.
La PKD (Polycysic kidney disease) touche les reins. Des kystes se trouvent à la surface des reins et les empêchent de filtrer correctement le sang. Les déchets métaboliques et les toxines ne sont pas éliminés et empoisonnent le sang. La gravité de la maladie dépend du nombre et de la taille des kystes.
Les symptômes apparaissent quand la maladie est déclarée. Le chat compense en buvant davantage pour éliminer les toxines. Il urine plus souvent et peut même avoir du sang dans les urines quand les reins souffrent. Comme lors d'un empoisonnement, le chat perd l'appétit, maigrit et peut avoir des nausées.
Selon les races, il existe des prédispositions à être porteur ou à exprimer des maladies génétiques. Dysplasie des hanches (HD), l’atrophie musculaire spinale (SMA), l’atrophie progressive de la rétine (APR), strabisme, … Cette liste n’est pas exhaustive et peut engendrer des conséquences plus ou moins graves sur la santé de nos chats. Le site internet de PawPeds donne des informations intéressantes. http://pawpeds.com/healthprogrammes/index_fr.html
J’ai décidé de faire mon mieux pour préserver mes chatons de l’hypertrophie musculaire du cœur (HCM) et de la polykystose rénale (PKD). Ces maladies sont dites silencieuses car elles ont un développement lent. Elles touchent le coeur et les reins, les organes essentiels pour le bon fonctionnement du corps.
La HCM (Hypertrophic cardiomyopathy) touche le cœur. Le muscle cardiaque s’épaissit. La capacité du ventricule gauche pour se contracter est réduite et l’efficacité de pomper le sang est diminuée. Le corps est moins bien alimenté et oxygéné. Le coeur bat plus vite de façon inefficace pour compenser. Suivant les formes de la maladie, la HCM se développe souvent sans symptomes visible jusqu’à ce qu’un arrêt cardiaque mortel survienne. Les principaux symptômes de la HCM sont une dyspnée (le souffle court), des douleurs thoraciques (angine de poitrine), des palpitations cardiaques, la fatigue, un malaise pouvant aller jusqu’au malaise vagal (syncope) et dans le pire des cas à un arrêt cardiaque.
La PKD (Polycysic kidney disease) touche les reins. Des kystes se trouvent à la surface des reins et les empêchent de filtrer correctement le sang. Les déchets métaboliques et les toxines ne sont pas éliminés et empoisonnent le sang. La gravité de la maladie dépend du nombre et de la taille des kystes.
Les symptômes apparaissent quand la maladie est déclarée. Le chat compense en buvant davantage pour éliminer les toxines. Il urine plus souvent et peut même avoir du sang dans les urines quand les reins souffrent. Comme lors d'un empoisonnement, le chat perd l'appétit, maigrit et peut avoir des nausées.
Prévention de HCM et PKD
Actuellement, seuls les contrôles échographiques (par ultrasons) sont valables. Je suis sûre que le vétérinaire de votre région est très compétent, mais il n'a malheureusement souvent ni le matériel ni l'expérience pour analyser les résultats. Seuls quelques spécialistes sont reconnus en Suisse. Les test peuvent être effectués dès que le chat a un an pour détecter les premiers signes de la maladie au cas où celle-ci se développe rapidement. La HCM a une évolution très lente. Pour les reproducteurs, un contrôle est conseillé tous les deux ans. Et oui, tout ceci a un coût, mais c'est pour le bien de votre chat!
Il existe des tests génétiques. Comme dans tout document, il faut lire les petites lignes en bas de la page. Il est mentionné que ce test n'est valable ni pour le sibérien, ni pour le néva masquerade. Encore une fois, le sibérien est une race relativement jeune et trop saine pour avoir suffisament de chats "malades". L'échantillonage est insuffisant pour que les laboratoires puissent mettre en évidence le gène malade propre au sibérien. Si le test est négatif, tant mieux! Cela veut dire que votre chat ne porte pas le gène qui rend malade les sphynx ou les shar-peï.
Il existe des tests génétiques. Comme dans tout document, il faut lire les petites lignes en bas de la page. Il est mentionné que ce test n'est valable ni pour le sibérien, ni pour le néva masquerade. Encore une fois, le sibérien est une race relativement jeune et trop saine pour avoir suffisament de chats "malades". L'échantillonage est insuffisant pour que les laboratoires puissent mettre en évidence le gène malade propre au sibérien. Si le test est négatif, tant mieux! Cela veut dire que votre chat ne porte pas le gène qui rend malade les sphynx ou les shar-peï.